Tsunami

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Au-dessus de Samoëns, un soir d’octobre, la brume danse comme une mer dorée,
Caressant les cimes sombres des sapins, éphémères îles dans cet océan de lumière.

Le soleil déclinant embrase les vapeurs, offrant à l’horizon un feu de soie et d’ombre.
Le silence devient une mélodie, un murmure profond du monde endormi.

Les montagnes veillent, silhouettes austères, gardiennes immobiles de ce spectacle évanescent.
Et dans cet instant suspendu, l’automne souffle sa poésie infinie.