L’attraction des astres

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Dans l’écrin humide de la roche, un corps s’abandonne, épousant les contours naturels d’un monde millénaire. La peau nue, éclairée d’une lumière douce et tamisée, semble prolonger les veines de la pierre, unissant l’éphémère et l’éternel.

La mousse verte, vivante et luxuriante, caresse les arêtes froides du rocher, comme pour offrir un écrin de douceur à cette scène de quiétude. L’eau, immobile et silencieuse, reflète par endroits l’intimité d’un instant où la nature et l’être humain ne font plus qu’un.

Chaque courbe du corps s’accorde aux formes naturelles du sol, témoignant d’une harmonie subtile entre l’art et le sauvage. Une ode à la fragilité et à la force, où la vie trouve refuge dans le silence brut de la terre.