La sirène de Pen-Hir

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Là, où la lumière s’efface en silence,
Elle attend, sculptée par le vent et le temps.
Le roc l’abrite, la mer l’observe,
Tandis que le ciel tisse son voile changeant.

À l’ombre du jour, tout semble en suspens,
Ni l’aube, ni la nuit ne réclament leur règne.
Seul l’écho des vagues, en murmure discret,
Accompagne l’instant qui s’étire et s’éteint.