Les amours asymptotes

Il y a tant de poèmes dans un je t’aime. Et pourtant ce vers reste bien solitaire.   Retour

Le coeur du géant

Le souffle court, de ruelles en artères.Le souffle court mais, de ruelles en artères,  il s’essouffle. J’entends ses organes qui bourdonnent, Mais son coeur bat-il encore ? La cité ne cache pas de chimère ; la cité est chimère. Pour en savoir plus sur la genèse de cette épopée chimérique : https://www.maelström.fr/2015/12/18/architecture-musee-des-confluences/ Retour

Voyage en Synapsie

Il y a un lieu où je voyage et qui n’est pas une ville, ni une région ou même un pays. On ne le trouve pas sur les cartes, ni dans dans les manuels d’histoire et géographie. C’est un lieu où les paradoxes n’existent pas, et pourtant ils se réalisent. Un lieu ou l’on peut […]

À la frontière des mondes

Je m’envole au gré des tourmentset des vents.Peu m’importe l’arrivée,peu m’importe d’arriver. Je suis en chemin. Retour

Le météore

L’Univers tout entier glisse dans l’obscurité.Hier au crépuscule, il a vu s’éteindre le dernier des hommes. Entre Mars et Jupiter.J’ai vu des comètes s’en aller après le ballet des étoilesJ’ai vu des planètes s’arrêter de tourner juste après l’étéJ’ai vu le Soleil mentir à la LuneJe n’ai pas vu le météore. Retour

Dark matter(s)

Lorsqu’il fait nuit le jour, et que les ténèbres sont plus sombres qu’un ciel sans étoiles, alors Je suis le passager de mon propre corps. Retour